Charles Juster, Directeur Exécutif de Médiamétrie
Pourquoi avez-vous participé au Grand Prix Syntec Conseil ?
Tout d’abord pour soutenir les initiatives de Syntec qui montrent le dynamisme du conseil, en particulier celui des métiers des études. Le secteur des études est en effet très challengé aussi bien par la réglementation que par les technologies. Nous nous devons d’innover au quotidien pour nos clients en termes de méthodes sur le plan scientifique et sur le plan technologique. Participer à ce grand prix c’est ainsi mettre en évidence l’innovation des métiers des études.
Qu’attendez-vous de ce Grand Prix ?
Il nous permet de confronter nos savoirs-faires à ceux de nos confrères et à ceux de nouveaux acteurs sur le marché. C’est une forme de benchmark.
Mais participer à ce concours c’est aussi montrer l’énergie que nous déployons pour nos clients en vue de leur fournir des dispositifs innovants et ainsi les aider à relever les défis auxquels ils sont confrontés.
Notre motivation première est de partager, au travers de ce prix, avec le marché des médias et de la communication, notre positionnement : « innovation first ».
Sans dévoiler les projets que vous avez présentés, pouvez-vous donner en quelques mots leurs points forts ?
Mediamétrie a proposé 2 projets :
Le premier permet d’améliorer la performance publicitaire grâce à la Data et l’IA. Très innovante, cette mission apporte de nouvelles méthodes et met en avant des expertises de data sciences et de data panel. Pour résumer, c’est le mariage de la data massive et de la donnée panel.
Le second projet permet de fournir une mesure d’audience de la télévision adapté à un contexte donné (l’Afrique). La solution imaginée est une méthode fondée sur l’hybridation des données traditionnelles d’enquête via le recueil déclaratif et des données digitales (via les Boxes) pour apporter une mesure automatique d’audience.
Ces 2 projets présentent une innovation majeure qui marient 3 types de compétences dans nos équipes : la relation client (la clé) puis les compétences technologiques (l’IA) et des compétences scientifiques / statistiques.